Moi, Michel, petite bite, cocu et soumis.

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 6 ans

Bonjour. Je m’appelle Michel, trente ans, un mètre quatre vingt dix, pour quatre vingt dix kilos de muscles. Un vrai Hercule. Sauf que la nature m’a doté d’attributs ridicules, comparés à ma corpulence. Deux petits testicules, et une queue qui, en érection, atteint péniblement les neuf centimètres.

Ce qui explique que Francine, ma ravissante épouse, a pris un amant. Et quel amant. Guy, mon éternel rival. L’homme que je déteste le plus sur terre. Celui que j’avais surpris au lit avec ma première femme. Connaissant mon handicap, il a tout fait pour emmener ma femme dans son lit, pour m’humilier. Devant l’insistance, la séduction, et la virilité de Guy, mon épouse n’a pu résister.

Cela fait maintenant deux ans qu’ils sont amant, tout ça avec la complicité de ma belle mère. Le pire, c’est qu’au fil du temps, ma charmante épouse m’a imposé de devenir moi aussi, l’amant de Guy. Du coup, je suis devenu leur jouet sexuel.

Comme souvent le week-end, mon épouse regarde la télé avec sa mère. Pendant ce temps, je suis en train de me faire prendre en levrette par Guy, l’amant de ma femme, auquel je suis totalement soumis.

La première fois qu’il m’a sodomisé, j’ai eu très mal, tant sa bite est grosse. Mais petit à petit, j’ai pris énormément pris du plaisir, au point de ne plus pouvoir m’en passé. C’est comme lui tailler des pipes. Au début, cela me paraissait répugnant, maintenant, j’adore le gout de son sperme, que j’avale goulument.

Il arrive à ma belle mère de participer. Elle aussi prend plaisir à m’humilier.

Elle glisse une main entre mes cuisses, et saisit mon petit oiseau. Elle fait rouler mes petites couillettes entre ses doigts, puis attrape ma petite queue.

« Mais c’est qu’elle est toute raide, dit-elle. Petit cochon »

Lentement, elle décalotte mon gland, et me taille une petite branlette.

Chaque fois, je jouis juste au moment ou Guy vide ses grosses couilles dans mon ventre. J’aime sentir son sperme chaud couler en moi.

Souvent, nous invitons des amis le week-end. Ces soirs là, je sers de soubrette. On m’habille d’une courte jupette noire avec des bas résilles, d’un petit haut blanc, et des escarpins rouge. Pas de slip.

Comme si j’étais un objet de foire, les femmes veulent savoir. Elles m’attirent, m’assieds sur leur genoux, et gratte mes ridicules attributs. Elles serrent mes petits œufs, pour voir l’effet que ça me fait. Bien sur, je pousse des cris de douleur. Puis elles s’en prennent à ma petite quéquette, qu’elles décalotte, et qu’elles branlent, jusqu’à ce que j’éjacule. Les hommes ne sont pas en reste. Ils sont parfois cinq ou six, à m’enculer, et cela, à plusieurs reprises au court de la nuit, jusqu’à ce que je l’ai supplie d’arrêter.

Certain soir, belle maman m’emmène faire une virée. Elle m’oblige à porter une mini jupe, et un petit haut. La jupe est tellement courte, que quand je m’assois, elle remonte sur mes cuisses, découvrant ma ridicule anatomie.

On va dans les entrepôts désaffectés. Là, des blacks et des maghrébins, montés comme des taureaux, nous attendent. Ils pointent leurs énormes queues à la vitre de la voiture, et ma belle mère m’oblige à leur tailler des pipes. Leur foutre épais gicle au fond de ma gorge. Puis, ils me prennent sur le capot de la voiture. Chacun leur tour, ils m’enculent, à plusieurs reprises, me traite de chienne. Et c’est vrai que je suis une chienne. Une fois, pendant que je taillais une pipe, ils m’ont mis deux bites dans le cul. Je hurlais de douleur, mais ça n’y faisait rien. Il arrive qu’il y est des jeunes filles aussi, qui s’amusent avec mes petits coucous, et ma petite queue, la décalottant, grattant mon petit bout.

Quand on rentre, vers quatre heures du matin, ma belle mère fait ma toilette. Cette salope arrive à me tirer des larmes quand elle serre mes couillettes. J’entends aussi les gémissements de plaisir de mon épouse, provenant de la chambre d’à côté, en train de se faire baiser par Guy.

Ma réputation de petite lopette, se répand vite, jusque à mon lieu de travail. Mes collègues de bureau, pourtant sous mes ordres, s’amusent avec moi. Ils m’attrapent sous la douche, après une partie de tennis, me sodomisent, m’obligent à leur tailler des pipes. Quand ils ont une petite envie, ils m’appellent dans leur bureau, me demande de me mettre tout nu. Je vois leur énorme queue en érection, sortie de leur pantalon. Ils me prennent par les hanches, et m’obligent à m’empaler sur leur bite.

Même mes secrétaires, me prennent à coup de gode ceinture. C’est maintenant moi qui leur obéi, qui les supplie même de me sodomiser.

Puis ils se retirent, me laisse entre les mains de Djamel, l’employé d’entretien. Un maghrébin d’une cinquantaine d’années, taillé dans le roc. Une vraie brute qui s’amuse avec mon petit oiseau, pour bien m’humilier, qui n’hésite pas à me mettre des roustes si je ne lui obéis pas. Il me fait hurler de douleur quand il attrape mes petites couilles. Mais quel plaisir de sentir sa grosse queue pénétrer mon petit trou. En une heure, il jouit trois, quatre fois, sans jamais sortir son énorme bite de mon ventre. Que du bonheur.

Mais le plus terrible, c’est quand Nadine, une de mes secrétaires, m’appelle dans son bureau. Nadine n’est autre que la femme de Guy, l’amant de ma femme. Elle me donne des fessées, n’hésite pas à me torturer, quand je suis empalé sur son gode ceinture. Elle me saisit mes petits oeufs, qu’elle froisse entre ses mains, comme du papier journal. Je hurle de douleur.

Un week-end, Guy et mon épouse sont partis chez des amis, me laissant seul avec ma belle mère. Cette dernière m’impose à rester nu, sous prétexte qu’elle peut attraper mes petites couilles, quand elle le souhaite. Il lui arrive d’inviter Nadine, l’épouse de Guy, pour une soirée soumission.

Un jour, ma femme a porté l’estocade, a voulu que je me soumette à Guy et sa mère, sans concession.

-A partir d’aujourd’hui, m’ordonne-t-elle, tu vas appeler Guy « mon chéri », comme je le fais moi. Et de lui obéir, sinon…d’ailleurs, il a envie d’une petite gâterie. Va à la salle de bain lui tailler une pipe…et de tout avaler. Ok.

Voila comment je suis devenu l’objet sexuel, la lopette de tout ces gens, aussi pervers les uns que les autres. Tout ça parce que ma mère m’a doté d’une petite bite.

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